Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Blog du Dr Raphaël Perez

Devenir acteur de sa santé. Retrouver les conseils du Dr Raphaël Perez (Ph.D), naturopathe expert en santé naturelle et en jeûne, pour renforcer votre santé et votre qualité de vie.

Grippe A 2ème partie

La fameuse grippe A

Les dangers des vaccins

Une proportion importante de la population n’a pas confiance dans les vaccins habituels, mais une part encore plus grande montre de la réticence envers celui contre la grippe A. Tout d’abord, pour juger il faut connaître l’efficacité des vaccins. Quand je faisais mes études à la faculté de pharmacie, j’ai eu des cours sur les vaccins. Pendant l’un d’entre eux, un professeur nous a dit que 60% des personnes vaccinés contre la grippe chaque année avaient la grippe. Ce chiffre m’a beaucoup surpris, surtout que ce professeur nous disait tenir cette valeur des laboratoires. Je me suis rendu compte en cherchant une peu que les chiffre d’efficacité des vaccins, c’est-à-dire être vacciné et ne pas avoir par la suite les symptômes de la maladie, évolue entre 30 et 80% selon les souches virales utilisées. L’Institut National de Veille Sanitaire a déclaré il y a quelques années que l’efficacité du vaccin contre la grippe saisonnière en France était d’environ 60% chez les jeunes et 40% chez les personnes âgées. [1] Habituellement les vaccins ont une efficacité très modérée et les médias nous présentent le vaccin contre la grippe A qui a été fait très rapidement comme fiable sans avoir le moindre recul.

Le très sérieux épidémiologiste Tom JEFFERSON qui est auteur de plusieurs méta-analyses regroupant de nombreuses études concernant le vaccin. Dans ces méta-analyses, il montre que la qualité des études effectuées est relativement faible et que plus les études sont de bonne qualité, moins elles montrent une efficacité du vaccin. [2] A l’inverse les études financées par les laboratoires pharmaceutiques, qui montrent une bonne efficacité des vaccins, sont celles qui sont le mieux diffusées. On peut encore une fois se poser la question de l’indépendance des résultats mis en avant pour pousser la population à se faire vacciner.

De plus, il est intéressant de savoir que, sous le couvert de l’urgence pandémique, les vaccins de nombreux laboratoires n’ont pas subi les essais cliniques complets normalement obligatoires à la mise sur le marché des vaccins. Pour répondre à cette situation, dans les contrats passés entre l’état français et les laboratoires, les laboratoires ont obtenu la levée de leur responsabilité juridique en cas d’effets indésirables graves. L’état protège donc les laboratoires pharmaceutiques. Une clause du contrat précise que « l’état s’engage à garantir le titulaire [du contrat] contre les conséquences de toutes réclamations ou action judiciaire qui pourraient être élevées à l’encontre de ce dernier dans le cadre des opérations de vaccinations sauf en cas de faute du titulaire ou sauf en cas de livraison d’un produit non conforme aux spécifications décrites dans l’autorisation de mise sur le marché ». L’état français a offert cet énorme avantage parce que les laboratoires ont du créer des vaccins dans la précipitation sans avoir le temps d’effectuer tous les tests de sécurité. Alors ce vaccin présente-t-il de véritables dangers.

Circonstances exceptionnelles, vaccins exceptionnels

Dans ce vaccin exceptionnel fait à la va-vite, les laboratoires ont dû mettre du mercure, sous forme de thiomersal comme conservateur du fait que les flacons sont multi-doses. A savoir que ce produit, le thiomersal, a été retiré en des vaccins dans les années 2000 en Europe car il était suspecté d’empoisonner l’organisme, c’est un neurotoxique qui serait à l’origine de troubles graves comme l’autisme.

La dangerosité des vaccins contre la grippe A ne s’arrête pas la. Certains contiennent des adjuvants dont un particulièrement réputé pour sa dangerosité, le squalène. Cet adjuvant, destiné à amplifier la réponse immunitaire, a été incriminé du syndrome des vétérans de la guerre du Golfe. Le squalène est utilisé car, selon les données expérimentales, il provoque une élévation importante d’anticorps. Il provoque un empoisonnement de l’organisme qui serait responsable du développement de maladies auto-immunes (polyarthrites rhumatoïdes). [3] [4] De nombreux professeur renommés comme le Pr ZINKERAGEL, prix Nobel de médecine et de physiologie, expliquent qu’une molécule telle que le squalène déclenche une réaction du système immunitaire donc de l’organisme. C’est cette réaction de défense de l’organisme face à l’agression de substances toxiques qui provoque le développement de troubles pathologiques auto-immuns. Le squalène est donc responsable d’une dégénérescence prématurée de certains organes du corps. Les vaccins contiennent aussi du formol qui est une substance reconnue comme cancérigène par le Centre International de Recherche contre le Cancer.

Que ce soit le vaccin contre la grippe A ou celui contre la grippe saisonnière, ils présentent tous deux des dangers pour la santé. S’ils n’entrainent pas un accident de vaccination, ils empoisonnent votre corps et ils sont sur le long terme en partie responsable de la prédisposition aux maladies graves et chroniques. Comme nous venons de le voir, les vaccins « pour nous protéger" du dangereux virus A H1N1 contiennent des substances loins d'être inofensives.

On nous annonce très fréquemment le risque d’une pandémie extrêmement grave et dangereuse qui va décimer la population. Cet argumentaire mis en avant par les laboratoires pharmaceutiques et par l’OMS a-t-il pour but d’informer ou de faire peur ?


Que penser des informations officielles sur la grippe A

Une information récente de grande ampleur a été dévoilée. Le professeur Albert Osterhaus est le principal conseiller de l’Organisation mondiale de la Santé face à la pandémie de grippe H1N1. Il a prédit l’imminence d’une grave pandémie, ce qui est entièrement son rôle si un réel risque est sous-jacent. Mais ce professeur, considéré comme la référence en matière de grippe A, est rattrapé par un scandale qui met en évidence ses liens personnels avec les laboratoires pharmaceutiques qui fabriquent les vaccins qu’il préconise à l’OMS d’utiliser. La revue Science mentionne dans son numéro du 16 octobre 2009 l’enquête qui a révélé les liens du Pr ALBERT Osterhaus avec les laboratoires qu’il a grandement contribués à enrichir. Il faut savoir que Albert Osterhaus, avant le grippe A, était déjà activement impliqué dans les informations délivrées sur le SRAS et sur la fameuse grippe aviaire si dangereuse.

Albert Osterhaus était tellement considéré comme la référence pour toutes les affirmations qu’il fournissait sur la grippe A à l’OMS ainsi qu’à d’autres organismes officiel qu’aucune référence ni expertise qu’il mettait en avant n’était remis en question. Il a pourtant été accusé d’avoir servit les intérêts de son propre qui fabriquait des vaccins. Encore une fois, la transparence du financement des experts officiels est remise en cause. Ce n’est pas la première fois que leurs liens financiers étroits avec les laboratoires arrivent sur le devant de la scène. Comment continuer à croire les informations que nous donnent les « experts ». Ils finissent presque tous par être accusés d’avoir touchés des fonds privés venant des laboratoires et généralement les enquêtes finissent par montrer qu’ils sont à la solde des laboratoires pour promouvoir les produits qu’ils fabriquent. Des supercheries sont parfois mises en place, des études bidons et des analyses qui ne sont pas faites dans leur intégralité pour montrer les dangers du virus de la grippe A et les « bénéfices » des vaccins et des antiviraux.

Nous voyons que les informations délivrées par les experts officiels sur la grippe A et sur les vaccins sont remises en question, mais les études prouvant l’efficacité du Tamiflu® le sont également. La société Roche, qui commercialise le Tamiflu®, a prétendu qu’il existait de nombreuses études prouvant que son antiviral était efficace et qu’il permettait de réduire d’environ 60% les hospitalisations des personnes grippées qui en prenaient. Malheureusement, ces affirmations se sont avérées fausses car le laboratoire les a entièrement inventées. Le British Medical Journal, dans un article récent, accuse Roche d’avoir menti sur l’efficacité du Tamiflu®. Il s’avère que seulement deux études parmi toutes celles citées par le laboratoire ont fait l’objet de publications dans des journaux scientifiques. On peut se dire que deux études scientifiques sérieuses peuvent être suffisantes pour prouver l’efficacité d’un médicament mais pour cela il faudrait que les données originales de ces études soient disponibles. Les données des deux études scientifiques répertoriées n’existent pas, elles ont tout simplement disparues de la circulation ou alors elles n’ont jamais été effectuées. Le chercheur d’une étude déclare ne jamais avoir vu les données.

Comme on peut le voir, encore une bonne nouvelle, il faut vite prendre plein de médicaments pour se protéger de la dangereuse grippe A. Plus sérieusement, que faut-il penser ? Des données faussées ou inexistantes, des informations très alarmantes sans véritable fondement, de vaccins contenant des nombreux produits toxiques pour l’organisme et qui possèdent une efficacité très limitée. Faut-il continuer à se méfier des informations officielles qui circulent autour de la grippe A ?

Venant du milieu pharmaceutique, je pense franchement qu’il n’y a pas lieu de s’inquiéter. La grippe A est un virus qui circule de temps à autre comme le autres virus de la grippe. Les laboratoires pharmaceutiques sont des firmes très puissantes qui veulent par tous les moyens augmenter leurs ventes. En les fréquentant, j’ai appris que leur slogan pour la préservation de la santé, qui fait penser qui son à notre service pour nous éviter d’être malade, n’est fait que pour leur donner une bonne image. Les laboratoires sont des sociétés commerciales privés dont le but est avant tout de vendre. Ils sont tellement puissants qu’ils achètent ou soudoient des chercheurs pour que leurs produits soient mis sur le devant de la scène. Malheureusement, ils font tout pour obtenir une bonne image médiatique, mais si vous cherchez un peu vous trouverez beaucoup de scandales sanitaires. Des médicaments qui sont retirés du marché, après 10 de bons et loyaux services, car ils provoquent des troubles sanitaires et l’information était connue depuis le début par les laboratoires qui l’ont masqué. Vous trouverez également des scandales liés aux essais cliniques qui ont été dévoilés incomplètement pour éviter de parler de certains effets nocifs. Si vous vous donnez vraiment la peine de chercher vous trouverez de nombreux cas.

En sachant toutes ces choses, j’ai envie de vous dire deux phrases : vous disposez de votre libre arbitre alors profitez de cette chance pour vous interroger sur ce qui se passe autour de vous et sur les nombreuses informations officielles qu’on vous donne. Les différents scandales qui se produisent régulièrement sont là pour nous le rappeler qu’elles sont loin d’être toujours fiables alors surtout renseignez-vous bien avant de prendre un choix aussi important que celui de vous faire vacciner, notamment contre cette grippe A H1N1.

 

[1] Rapport de l’INVS : Surveillance épidémiologique de la grippe en France : renforcement des systèmes de surveillance - Bilan de la saison 2004-2005 page 5

[2]  T Jefferson, C Di Pietrantonj, M G Debalini, A Rivetti, and V Demicheli; Relation of study quality, concordance, take home message, funding, and impact in studies of influenza vaccines: systematic review. BMJ 2009 338: b354.

[3] Barbro C. Carlson, Åsa M. Jansson, Anders Larsson, Anders Bucht and Johnny C. Lorentzen; The Endogenous Adjuvant Squalene Can Induce a Chronic T-Cell-Mediated Arthritis in Rats. American Journal of Pathology. 2000;156:2057-2065. Accessible en ligne: http://ajp.amjpathol.org/cgi/content/abstract/156/6/2057<...

[4] Holm B C, Svelander, Bucht A, and Lorentzen J C The arthritogenic adjuvant squalene does not accumulate in joints, but gives rise to pathogenic cells in both draining and non-draining lymph nodes. Clin Exp Immunol. 2002 March; 127(3): 430–435. doi: 10.1046/j.1365-2249.2002.01783.x. Accessible en ligne sur Pub Med.

Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article